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Poème Novembre 2002

DERRIÈRE TOI POUSSE LA PORTE

Ce n'est certes pas pour emprisonner nos morts

Qu'un grand mur autour d'eux nous construisons,

Mais pour qu'ils puissent se reposer à l'unisson

Dans ce monde d'amour où ils nous attendront.

Pour cela, derrière nous, n'oublions pas de pousser la porte

Car, quand viendra l'instant où le temps nous emporte,

Combien nous serons heureux de, près d'eux, fermer les yeux,

Pour nous retrouver sur le chemin des cieux