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Poème Août 2005

Regard de moissons

Dans les grands champs de blé,

Le vent s’est mis à souffler,

Les transformant en un océan doré

Devant une telle beauté,

Le paysan ne peut qu’admirer

Les graines qu’il avait semées.

Et qui aujourd’hui ont levé,

Attendant d’être fauchées

Pour enfin être broyées

Alors, l’homme a salué

Celui qui fait chanter

Tous ces épis de blé

Sachant qu’ils deviendront du pain

Pour tous ceux qui ont encore faim

Et seront alors l’espoir de demain.