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Poème Novembre 2010

Dès le début de novembre
Chacun prend alors le chemin,
Parfois le cœur lourd de chagrin,
Afin de se rendre au cimetière
Qui peut être douleurs d’hier.
C’est l’instant de le refleurir
Et de retrouver l’espoir dans notre vie
D’une vie qui jamais ne finit
Et nous réunit dans l’infini.
Alors, chantons les Saints
Et prenons-nous par la main
Car qui sait, si parmi eux,
N’y a-t-il pas quelque bienheureux
Saints oubliés ou ignorés
Qu’en ce jour, Dieu ne peut que fêter.

Josiane Martini