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Poème Novembre 2011

L’homme,

Si fort et si fragile lorsqu’il a la sensation,

quelque part, de ne plus exister.

Heureux, celui que le destin tente

afin de lui permettre de retrouver

sa place au sein du chemin qui est le sien.

Pauvre, celui que Dieu ne met à l’épreuve.

Il finira ses jours comme un malheureux

ou bien il sera oublié.

Aussi, à tout mal il y a un bien

pour celui qui sait prendre du recul, réfléchir

et rentrer tel l’enfant prodige à la maison.

Quelle fête alors pour nous.

Josiane Martini